Diferencia entre revisiones de «Monografico de Proyectos 2025-2026/JEROME LORE»

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Clase del 23/09 : Hemos visto que la biodiversidad urbana depende mucho de la forma y de la organización de la ciudad: incluso en un entorno muy construido, espacios como terrenos baldíos, tejados o corredores ecológicos permiten que muchas especies vivan. También entendí, a través del ejemplo de la ciudad residencial de Marbella, que las opciones de desarrollo o densificación pueden amenazar estos equilibrios, así como el valor patrimonial y social de los lugares. Esto demuestra que la naturaleza, la urbanización y el patrimonio deben pensarse juntos para crear ciudades sostenibles.
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Cours du 23/09 : Nous avons vu que la biodiversité urbaine dépend beaucoup de la forme et de l'organisation de la ville : même dans un environnement très bâti, des espaces tels que les terrains vagues, les toits ou les couloirs écologiques permettent à de nombreuses espèces de vivre. J'ai également compris, à travers l'exemple de la ville résidentielle de Marbella, que les options de développement ou de densification peuvent menacer ces équilibres ainsi que la valeur patrimoniale et sociale des lieux. Cela montre que la nature, l'urbanisme et le patrimoine doivent être pensés ensemble pour créer des villes durables. Cours du 30/09 : Dans ce cours, nous explorons les différentes approches possibles de la rivière, ainsi que les multiples visions et perceptions que l'on peut avoir selon le point de vue ou la hauteur du chemin. Parfois, la rivière est en bas, parfois à la même hauteur que nous, et ces variations influencent nos sentiments et la façon dont nous le percevons. Nous avons également mentionné l'importance des connexions liées à cette réouverture de la rivière : elle joue un rôle essentiel de liaison, reliant les différents éléments du paysage, les écosystèmes, mais aussi les êtres vivants qui l'entourent. Le cours a mis en évidence la richesse de la biodiversité. On a observé comment la nature locale essaie de retrouver sa place, même dans les zones bétonnées, ainsi que les différentes façons dont la végétation autour de la rivière est gérée - parfois laissée libre, parfois contrôlée. Cours du 07/10 : Cette semaine, nous avons parlé de la relation entre l'architecture et l'environnement naturel. Le cours nous a montré que les projets architecturaux ne se limitent pas à la forme ou à l'esthétique, mais ont également un impact direct sur les écosystèmes et les ressources naturelles. Nous avons vu que certains projets célèbres, comme la Maison Fallingwater de Frank Lloyd Wright, bien qu'innovants d'un point de vue esthétique, ne respectent pas toujours la biodiversité ou l'équilibre écologique du lieu. Le nouveau projet hôtelier à la place de la ville résidentielle Tiempo Libre : risque d'aggraver l'artificisation du littoral andalou et de détruire davantage la biodiversité marine et terrestre. Bien que le projet précédent ait utilisé des formes et des couleurs qui s'intégraient dans le paysage, il n'avait plus d'approche écologique et ne tenait plus compte des risques naturels. Remplacer les maisons par un hôtel ne fera qu'augmenter la densité touristique, accentuer la pression sur l'environnement et ignorera complètement la durabilité. Ce cours m'a permis de mieux comprendre que l'architecture doit aujourd'hui aller au-delà de la simple intégration visuelle : elle doit contribuer à la préservation de la biodiversité (alpha, bêta, gamma), à la gestion responsable des ressources et à la réduction de l'impact environnemental. Par conséquent, les bâtiments doivent être considérés comme des éléments vivants de leur écosystème et non comme des objets isolés. Cours du 14/10 : Cette semaine, la classe portait sur la relation entre l'architecture, la nature et le territoire, et sur l'importance d'analyser le contexte avant de projeter. L'exemple de l'autoroute de Catalogne illustre parfaitement cette idée : malgré la présence évidente d'une rivière, le tracé a été mal conçu et a provoqué des inondations. Les ingénieurs ont justifié l'erreur par le changement climatique, mais le problème venait surtout d'un manque d'observation du site. Ce cas démontre la nécessité d'enquêter, de comprendre et d'anticiper les conditions naturelles avant toute intervention architecturale. Ensuite, nous parlons de la renaturalisation comme stratégie pour corriger les erreurs d'un urbanisme trop artificiel. Redonner de l'espace à la nature permet d'absorber et de filtrer l'eau, de purifier l'air, de réduire la chaleur urbaine et de renforcer la biodiversité. L'idée d'une ville plus compacte et plus élevée a également été discutée, plutôt que de s'étendre à la campagne, afin de préserver le sol naturel et de limiter l'impact environnemental. La relation entre architecture et paysage a été illustrée par Capability Brown et les peintres Claude Lorrain et Nicolas Poussin. Tous ont montré que la nature n'est pas seulement un élément esthétique, mais une partie structurelle qui rehausse l'architecture tout en ét en respectant. En ce sens, la nature devient une véritable composante du projet architectural, capable d'assurer sa durabilité et sa beauté. Enfin, nous avons relié ces idées au projet de la Cité Syndicale de Vacances de Marbella, étudié parallèlement au cours. Conçue dans les années 50 pour garantir le droit au repos des travailleurs, cette ville cherchait à intégrer l'architecture dans le paysage méditerranéen, en respectant la topographie, les dunes et la végétation locale. Malgré son contexte franquiste, il représente une réflexion très actuelle sur la relation entre le bien-être, le paysage et le patrimoine moderne. Aujourd'hui, repenser ce type de projet d'un point de vue écologique et collectif pourrait inspirer de nouvelles façons d'habiter le territoire. Cours du 21/10 : Le cours de cette semaine portait sur la Ciudad Sindical de Vacaciones de Marbella, un complexe touristique moderniste construit sur la côte andalouse. Ce site est aujourd'hui menacé par un projet d'hôtel de luxe. Le projet, qui date de plus de cinquante ans, se distingue par sa forme de lien, une route circulaire qui relie différentes zones d'habitation et zones d'activités. L'architecture dialogue étroitement avec la topographie dunaire du lieu : certains bâtiments près de la mer sont disposés en terrasses, ce qui permet à chaque maison de profiter de vues sur la mer. Les formes organiques et en spirale, combinées à des volumes plus géométriques, créent un ensemble à la fois harmonieux et expérimental. Chaque maison dispose d'un espace extérieur privé, soulignant l'importance des espaces extérieurs dans une résidence de vacances. Le bâtiment principal, en spirale, impressionne par son ingéniosité : rampe pour bus, collecte des eaux pluviales et un design fonctionnel dans les moindres détails. Une église ouverte sur le ciel, également en spirale, illustre la richesse symbolique du projet. Cette architecture, sobre mais inventive, reflète une réflexion inhabituelle sur la relation entre la nature, la technique et la vie collective. Malgré certaines limitations propres à son époque (terrains nivelés, verres simples...), il reste un exemple visionnaire d'urbanisme de loisirs. J'ai trouvé le cours passionnant : découvrir les plans originaux et comprendre les intentions de l'architecte m'a fait percevoir la Cité Syndicale de Vacances de Marbella comme un véritable patrimoine moderne, à la fois poétique et fonctionnel. Sa disparition possible soulève la question essentielle de la préservation des architectures du XXe siècle. Cours du 28/10 : L'architecture contemporaine est à un tournant : les crises climatiques, sociales et énergétiques exigent de repenser leur sens et leur responsabilité. Plus qu'une cause, l'architecture est un miroir de la société qui la génère, mais elle peut aussi être un moteur de transformation si elle adopte des valeurs durables et collectives. L'expérience du projet CRTLM a démontré la valeur d'un travail interdisciplinaire, capable d'intégrer différents niveaux d'analyse et de générer des solutions cohérentes et sensibles au contexte. Cette façon de penser et de projeter révèle que l'avenir de l'architecture dépend de sa capacité à répondre éthiquement aux besoins du présent et de la planète. Cours du 04/11 : La visite sur le site du CRTLM a profondément alimenté ma réflexion sur la façon dont l'architecture s'inscrit dans un environnement déjà vivant, déjà structuré. À mon arrivée, j'ai été impressionné par la situation du terrain : coincé entre la mer et l'autoroute, il semble constamment partagé entre deux mondes. Cette dualité m'a fait réfléchir sur le rôle de l'architecture dans des contextes où la nature et les infrastructures humaines se rencontrent, parfois en harmonie et parfois avec des frictions. Voir l'accès au site, quelque peu dissimulé et presque maladroit, m'a également fait comprendre à quel point les circulations - celles des gens, mais aussi celles des flux naturels - influencent la façon dont un lieu est perçu et vécu. Je me suis demandé si cette difficulté d'accès ne révélait pas une relation plus large entre le site et son environnement : un dialogue qui a existé, mais qui s'est affaibli au fil du temps. En regardant les bâtiments, j'ai senti que certains avaient été conçus avec une véritable attention au paysage, essayant de s'intégrer dans leur topographie ou de s'ouvrir sur la mer. D'autres, en revanche, semblaient être en rupture, comme si le lien avec la nature s'était perdu au fil des ans. Cela m'a fait réfléchir sur la fragilité des intentions architecturales : même un projet qui, à l'origine, prend soin de son environnement peut être dépassé si le territoire qui l'entoure se transforme. Ce qui m'a le plus marqué, finalement, c'est de réaliser à quel point un site est un organisme vivant. Il change, subit des pressions, accueille des utilisations inattendues, perd certaines fonctions et en acquiert d'autres. L'urbanisation autour, le rôle de l'autoroute, la proximité de la plage : tout cela façonne un paysage qui n'est jamais fixe. Intervenir ici ne signifie pas seulement construire, mais surtout écouter : écouter les dynamiques écologiques, les rythmes du lieu, les ruptures, les continuités. Je me suis rendu compte que le véritable défi est peut-être de comprendre comment redonner du sens à un lieu dont les relations - avec la nature, avec les habitants, avec l'histoire - se sont transformées. En partant, j'avais le sentiment d'avoir moins de certitudes qu'à mon arrivée, mais une vision plus claire : travailler dans un tel contexte exige d'accepter la complexité, d'observer avant d'agir et de considérer l'architecture non pas comme une réponse définitive, mais comme un moyen respectueux de participer à un environnement déjà vivant. Cours du 11/11 Notre groupe a choisi d'aborder le site de CRTLM à travers le paysage, car, selon nous, c'est la zone qui nécessite la transformation la plus profonde. Lors de la visite, nous constatons un terrain très artificiel, composé de surfaces de gazon, d'arbres isolés et de bâtiments sans véritable continuité entre eux. Cette organisation en « couches » génère un paysage rigide et déconnecté de son environnement naturel. Notre intention est de rétablir une cohérence écologique en rendant le sol plus vivant, plus perméable, et en réintroduisant des plantes locales capables de renforcer la biodiversité. Les approches de Gilles Clément ou Piet Oudolf nous inspirent surtout pour imaginer un paysage plus spontané, résilient et adapté au climat de Marbella. Nous voulons également repenser certains espaces tels que l'entrée et le parking, actuellement très minéralisés et situés dans des zones sensibles du site. Une réorganisation des flux et une réduction des surfaces artificielles permettraient de redonner au site une relation plus naturelle avec son environnement. Enfin, comme l'empreinte des maisons est relativement faible, nous voyons un grand potentiel pour valoriser les espaces extérieurs et créer des continuités végétales. Nous représenterons nos idées à l'aide de croquis, d'axonométries et de sections simples, pour clarifier nos intentions et montrer comment le paysage peut devenir l'élément structurant du projet.
 
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Clase del 30/09 : En esta clase exploramos los diferentes enfoques posibles del río, así como las múltiples visiones y percepciones que se pueden tener según el punto de vista o la altura del camino. A veces, el río está abajo, otras veces a la misma altura que nosotros, y estas variaciones influyen en nuestros sentimientos y en cómo lo percibimos. También mencionamos la importancia de las conexiones relacionadas con esta reapertura del río: desempeña un papel esencial de enlace, conectando los distintos elementos del paisaje, los ecosistemas, pero también los seres vivos que lo rodean. La clase destacó la riqueza de la biodiversidad. Observamos cómo la naturaleza local intenta recuperar su lugar, incluso en las zonas urbanizadas, así como las diferentes formas en que se gestiona la vegetación alrededor del río: a veces se deja libre, otras veces se controla.
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Clase del 07/10 : Esta semana hablamos de la relación entre la arquitectura y el entorno natural. La clase nos mostró que los proyectos arquitectónicos no se limitan a la forma o a la estética, sino que también tienen un impacto directo en los ecosistemas y los recursos naturales. Vimos que algunos proyectos famosos, como la Casa Fallingwater de Frank Lloyd Wright, aunque innovadores desde el punto de vista estético, no siempre respetan la biodiversidad ni el equilibrio ecológico del lugar. El nuevo proyecto hotelero en lugar de la ciudad residencial Tiempo Libre: riesgo de agravar la artificialización del litoral andaluz y destruir aún más la biodiversidad marina y terrestre. Aunque el proyecto anterior utilizaba formas y colores que se integraban en el paisaje, ya no tenía un enfoque ecológico y no consideraba los riesgos naturales. Reemplazar las casas por un hotel solo aumentará la densidad turística, acentuará la presión sobre el medio ambiente e ignorará por completo la sostenibilidad. Esta clase me permitió comprender mejor que la arquitectura hoy en día debe ir más allá de la simple integración visual: debe contribuir a la preservación de la biodiversidad (alfa, beta, gamma), a la gestión responsable de los recursos y a la reducción del impacto ambiental. Por lo tanto, los edificios deben considerarse como elementos vivos de su ecosistema y no como objetos aislados.
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Clase del 14/10 : Esta semana, la clase se centró en la relación entre arquitectura, naturaleza y territorio, y en la importancia de analizar el contexto antes de proyectar. El ejemplo de la autopista de Cataluña ilustra perfectamente esta idea: a pesar de la presencia evidente de un río, el trazado fue mal diseñado y provocó inundaciones. Los ingenieros justificaron el error por el cambio climático, pero el problema provenía principalmente de la falta de observación del sitio. Este caso demuestra la necesidad de investigar, comprender y anticipar las condiciones naturales antes de cualquier intervención arquitectónica. Luego, hablamos de la renaturalización como estrategia para corregir los errores de un urbanismo demasiado artificial. Devolver espacio a la naturaleza permite absorber y filtrar el agua, purificar el aire, reducir el calor urbano y reforzar la biodiversidad. También se discutió la idea de una ciudad más compacta y más alta, en lugar de expandirse hacia el campo, para preservar el suelo natural y limitar el impacto ambiental. La relación entre arquitectura y paisaje se ilustró con Capability Brown y los pintores Claude Lorrain y Nicolas Poussin. Todos demostraron que la naturaleza no es solo un elemento estético, sino una parte estructural que realza la arquitectura respetándola. En este sentido, la naturaleza se convierte en un verdadero componente del proyecto arquitectónico, capaz de garantizar su durabilidad y belleza. Finalmente, vinculamos estas ideas al proyecto de la Ciudad Sindical de Vacaciones de Marbella, estudiado paralelamente en clase. Diseñada en los años 50 para garantizar el derecho al descanso de los trabajadores, esta ciudad buscaba integrar la arquitectura en el paisaje mediterráneo, respetando la topografía, las dunas y la vegetación local. A pesar de su contexto franquista, representa una reflexión muy actual sobre la relación entre bienestar, paisaje y patrimonio moderno. Hoy, repensar este tipo de proyecto desde un punto de vista ecológico y colectivo podría inspirar nuevas formas de habitar el territorio.
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Clase del 21/10 : La clase de esta semana trató sobre la Ciudad Sindical de Vacaciones de Marbella, un complejo turístico modernista construido en la costa andaluza. Este sitio hoy está amenazado por un proyecto de hotel de lujo. El proyecto, que data de más de cincuenta años, se distingue por su forma de enlace, una carretera circular que conecta diferentes zonas de vivienda y zonas de actividades. La arquitectura dialoga estrechamente con la topografía dunar del lugar: algunos edificios cerca del mar están dispuestos en terrazas, lo que permite que cada casa disfrute de vistas al mar. Las formas orgánicas y en espiral, combinadas con volúmenes más geométricos, crean un conjunto armonioso y experimental. Cada casa cuenta con un espacio exterior privado, destacando la importancia de los espacios exteriores en una residencia de vacaciones. El edificio principal, en espiral, impresiona por su ingenio: rampa para autobuses, recogida de aguas pluviales y un diseño funcional en los más mínimos detalles. Una iglesia abierta al cielo, también en espiral, ilustra la riqueza simbólica del proyecto. Esta arquitectura, sobria pero inventiva, refleja una reflexión inusual sobre la relación entre naturaleza, técnica y vida colectiva. A pesar de algunas limitaciones propias de su época (terrenos nivelados, vidrios simples...), sigue siendo un ejemplo visionario de urbanismo de ocio. Me pareció una clase apasionante: descubrir los planos originales y comprender las intenciones del arquitecto me hizo percibir la Ciudad Sindical de Vacaciones de Marbella como un verdadero patrimonio moderno, a la vez poético y funcional. Su posible desaparición plantea la cuestión esencial de la preservación de las arquitecturas del siglo XX.
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Clase del 28/10 : La arquitectura contemporánea está en un punto de inflexión: las crisis climáticas, sociales y energéticas exigen repensar su sentido y responsabilidad. Más que una causa, la arquitectura es un espejo de la sociedad que la genera, pero también puede ser un motor de transformación si adopta valores sostenibles y colectivos. La experiencia del proyecto CRTLM demostró el valor de un trabajo interdisciplinario, capaz de integrar diferentes niveles de análisis y generar soluciones coherentes y sensibles al contexto. Esta forma de pensar y proyectar revela que el futuro de la arquitectura depende de su capacidad para responder éticamente a las necesidades del presente y del planeta.
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Clase del 04/11 : La visita al sitio del CRTLM alimentó profundamente mi reflexión sobre cómo la arquitectura se inserta en un entorno ya vivo, ya estructurado. Al llegar, me impresionó la situación del terreno: atrapado entre el mar y la autopista, parece constantemente compartido entre dos mundos. Esta dualidad me hizo reflexionar sobre el papel de la arquitectura en contextos donde la naturaleza y las infraestructuras humanas se encuentran, a veces en armonía y otras veces con fricciones. Ver el acceso al sitio, algo escondido y casi torpe, también me hizo comprender cuánto influyen las circulaciones —de las personas, pero también de los flujos naturales— en cómo se percibe y se vive un lugar. Me pregunté si esta dificultad de acceso no revelaba una relación más amplia entre el sitio y su entorno: un diálogo que existió, pero que se ha debilitado con el tiempo. Al observar los edificios, sentí que algunos habían sido diseñados con verdadera atención al paisaje, intentando integrarse en su topografía o abrirse al mar. Otros, en cambio, parecían estar desconectados, como si el vínculo con la naturaleza se hubiera perdido con los años. Esto me hizo reflexionar sobre la fragilidad de las intenciones arquitectónicas: incluso un proyecto que, en su origen, cuida su entorno puede quedar desfasado si el territorio que lo rodea se transforma. Lo que más me impactó, finalmente, fue darme cuenta de cuánto un sitio es un organismo vivo. Cambia, sufre presiones, acoge usos inesperados, pierde algunas funciones y adquiere otras. La urbanización alrededor, el papel de la autopista, la proximidad de la playa: todo esto moldea un paisaje que nunca es fijo. Intervenir aquí no significa solo construir, sino sobre todo escuchar: escuchar las dinámicas ecológicas, los ritmos del lugar, las rupturas, las continuidades. Me di cuenta de que el verdadero desafío quizás sea entender cómo devolver sentido a un lugar cuyas relaciones —con la naturaleza, con los habitantes, con la historia— se han transformado. Al irme, tenía la sensación de tener menos certezas que al llegar, pero una visión más clara: trabajar en tal contexto exige aceptar la complejidad, observar antes de actuar y considerar la arquitectura no como una respuesta definitiva, sino como un medio respetuoso de participar en un entorno ya vivo.
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Clase del 11/11 : Nuestro grupo eligió abordar el sitio del CRTLM a través del paisaje, porque, según nosotros, es la zona que requiere la transformación más profunda. Durante la visita, constatamos un terreno muy artificial, compuesto por superficies de césped, árboles aislados y edificios sin verdadera continuidad entre ellos. Esta organización en «capas» genera un paisaje rígido y desconectado de su entorno natural. Nuestra intención es restablecer una coherencia ecológica haciendo el suelo más vivo, más permeable, y reintroduciendo plantas locales capaces de reforzar la biodiversidad. Las aproximaciones de Gilles Clément o Piet Oudolf nos inspiran sobre todo para imaginar un paisaje más espontáneo, resiliente y adaptado al clima de Marbella. También queremos repensar ciertos espacios como la entrada y el estacionamiento, actualmente muy mineralizados y situados en zonas sensibles del sitio. Una reorganización de los flujos y una reducción de las superficies artificiales permitirían devolver al sitio una relación más natural con su entorno. Finalmente, dado que la huella de las casas es relativamente baja, vemos un gran potencial para valorizar los espacios exteriores y crear continuidades vegetales. Representaremos nuestras ideas mediante bocetos, axonometrías y secciones simples, para clarificar nuestras intenciones y mostrar cómo el paisaje puede convertirse en el elemento estructurante del proyecto.
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Clase del 18/11 : El intercambio con el profesor permitió comprender más claramente cómo organizar y desarrollar nuestro proyecto. Hasta ahora, teníamos una intención general: hacer que el sitio sea más ecológico, vivo y conectado con su entorno. Esta idea sigue siendo pertinente, pero ahora debe estructurarse en diferentes niveles de intervención para revelar mejor el funcionamiento global del lugar.
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Se vuelve esencial relacionar nuestro proyecto con lo que sucede alrededor del sitio: los ecosistemas vecinos (dunas, zonas arboladas), los flujos existentes y también las propuestas de los otros grupos. El paisaje no puede ser tratado como un bloque homogéneo; debe desglosarse en varias escalas que dialoguen entre sí.
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En esta lógica, vamos a definir de 4 a 5 modelos de paisaje, cada uno correspondiente a una escala precisa: un paisaje amplio, conectado con las continuidades ecológicas del territorio; una zona de transición relacionada con los caminos y posibles recorridos; un paisaje más cercano a las casas; los patios o espacios muy íntimos; y, eventualmente, la zona dunar hacia el mar.
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Cada modelo será ilustrado con bocetos simples que muestren su función, sus posibles ambientes, las plantas adecuadas, así como su evolución en el tiempo. Algunos espacios pueden transformarse rápidamente, mientras que otros, como los corredores ecológicos, requieren una implementación más progresiva.
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El análisis del sitio (topografía, continuidades vegetales, zonas de paso potenciales para las personas y la fauna) se convierte, por lo tanto, en una herramienta para estructurar estos diferentes niveles y conectarlos entre sí. El objetivo es proponer un conjunto coherente, capaz de evolucionar, donde cada paisaje —del más amplio al más íntimo— contribuya a hacer el lugar más natural y más conectado.

Revisión del 16:56 18 nov 2025

Clase del 23/09 : Hemos visto que la biodiversidad urbana depende mucho de la forma y de la organización de la ciudad: incluso en un entorno muy construido, espacios como terrenos baldíos, tejados o corredores ecológicos permiten que muchas especies vivan. También entendí, a través del ejemplo de la ciudad residencial de Marbella, que las opciones de desarrollo o densificación pueden amenazar estos equilibrios, así como el valor patrimonial y social de los lugares. Esto demuestra que la naturaleza, la urbanización y el patrimonio deben pensarse juntos para crear ciudades sostenibles.

Clase del 30/09 : En esta clase exploramos los diferentes enfoques posibles del río, así como las múltiples visiones y percepciones que se pueden tener según el punto de vista o la altura del camino. A veces, el río está abajo, otras veces a la misma altura que nosotros, y estas variaciones influyen en nuestros sentimientos y en cómo lo percibimos. También mencionamos la importancia de las conexiones relacionadas con esta reapertura del río: desempeña un papel esencial de enlace, conectando los distintos elementos del paisaje, los ecosistemas, pero también los seres vivos que lo rodean. La clase destacó la riqueza de la biodiversidad. Observamos cómo la naturaleza local intenta recuperar su lugar, incluso en las zonas urbanizadas, así como las diferentes formas en que se gestiona la vegetación alrededor del río: a veces se deja libre, otras veces se controla.

Clase del 07/10 : Esta semana hablamos de la relación entre la arquitectura y el entorno natural. La clase nos mostró que los proyectos arquitectónicos no se limitan a la forma o a la estética, sino que también tienen un impacto directo en los ecosistemas y los recursos naturales. Vimos que algunos proyectos famosos, como la Casa Fallingwater de Frank Lloyd Wright, aunque innovadores desde el punto de vista estético, no siempre respetan la biodiversidad ni el equilibrio ecológico del lugar. El nuevo proyecto hotelero en lugar de la ciudad residencial Tiempo Libre: riesgo de agravar la artificialización del litoral andaluz y destruir aún más la biodiversidad marina y terrestre. Aunque el proyecto anterior utilizaba formas y colores que se integraban en el paisaje, ya no tenía un enfoque ecológico y no consideraba los riesgos naturales. Reemplazar las casas por un hotel solo aumentará la densidad turística, acentuará la presión sobre el medio ambiente e ignorará por completo la sostenibilidad. Esta clase me permitió comprender mejor que la arquitectura hoy en día debe ir más allá de la simple integración visual: debe contribuir a la preservación de la biodiversidad (alfa, beta, gamma), a la gestión responsable de los recursos y a la reducción del impacto ambiental. Por lo tanto, los edificios deben considerarse como elementos vivos de su ecosistema y no como objetos aislados.

Clase del 14/10 : Esta semana, la clase se centró en la relación entre arquitectura, naturaleza y territorio, y en la importancia de analizar el contexto antes de proyectar. El ejemplo de la autopista de Cataluña ilustra perfectamente esta idea: a pesar de la presencia evidente de un río, el trazado fue mal diseñado y provocó inundaciones. Los ingenieros justificaron el error por el cambio climático, pero el problema provenía principalmente de la falta de observación del sitio. Este caso demuestra la necesidad de investigar, comprender y anticipar las condiciones naturales antes de cualquier intervención arquitectónica. Luego, hablamos de la renaturalización como estrategia para corregir los errores de un urbanismo demasiado artificial. Devolver espacio a la naturaleza permite absorber y filtrar el agua, purificar el aire, reducir el calor urbano y reforzar la biodiversidad. También se discutió la idea de una ciudad más compacta y más alta, en lugar de expandirse hacia el campo, para preservar el suelo natural y limitar el impacto ambiental. La relación entre arquitectura y paisaje se ilustró con Capability Brown y los pintores Claude Lorrain y Nicolas Poussin. Todos demostraron que la naturaleza no es solo un elemento estético, sino una parte estructural que realza la arquitectura respetándola. En este sentido, la naturaleza se convierte en un verdadero componente del proyecto arquitectónico, capaz de garantizar su durabilidad y belleza. Finalmente, vinculamos estas ideas al proyecto de la Ciudad Sindical de Vacaciones de Marbella, estudiado paralelamente en clase. Diseñada en los años 50 para garantizar el derecho al descanso de los trabajadores, esta ciudad buscaba integrar la arquitectura en el paisaje mediterráneo, respetando la topografía, las dunas y la vegetación local. A pesar de su contexto franquista, representa una reflexión muy actual sobre la relación entre bienestar, paisaje y patrimonio moderno. Hoy, repensar este tipo de proyecto desde un punto de vista ecológico y colectivo podría inspirar nuevas formas de habitar el territorio.

Clase del 21/10 : La clase de esta semana trató sobre la Ciudad Sindical de Vacaciones de Marbella, un complejo turístico modernista construido en la costa andaluza. Este sitio hoy está amenazado por un proyecto de hotel de lujo. El proyecto, que data de más de cincuenta años, se distingue por su forma de enlace, una carretera circular que conecta diferentes zonas de vivienda y zonas de actividades. La arquitectura dialoga estrechamente con la topografía dunar del lugar: algunos edificios cerca del mar están dispuestos en terrazas, lo que permite que cada casa disfrute de vistas al mar. Las formas orgánicas y en espiral, combinadas con volúmenes más geométricos, crean un conjunto armonioso y experimental. Cada casa cuenta con un espacio exterior privado, destacando la importancia de los espacios exteriores en una residencia de vacaciones. El edificio principal, en espiral, impresiona por su ingenio: rampa para autobuses, recogida de aguas pluviales y un diseño funcional en los más mínimos detalles. Una iglesia abierta al cielo, también en espiral, ilustra la riqueza simbólica del proyecto. Esta arquitectura, sobria pero inventiva, refleja una reflexión inusual sobre la relación entre naturaleza, técnica y vida colectiva. A pesar de algunas limitaciones propias de su época (terrenos nivelados, vidrios simples...), sigue siendo un ejemplo visionario de urbanismo de ocio. Me pareció una clase apasionante: descubrir los planos originales y comprender las intenciones del arquitecto me hizo percibir la Ciudad Sindical de Vacaciones de Marbella como un verdadero patrimonio moderno, a la vez poético y funcional. Su posible desaparición plantea la cuestión esencial de la preservación de las arquitecturas del siglo XX.

Clase del 28/10 : La arquitectura contemporánea está en un punto de inflexión: las crisis climáticas, sociales y energéticas exigen repensar su sentido y responsabilidad. Más que una causa, la arquitectura es un espejo de la sociedad que la genera, pero también puede ser un motor de transformación si adopta valores sostenibles y colectivos. La experiencia del proyecto CRTLM demostró el valor de un trabajo interdisciplinario, capaz de integrar diferentes niveles de análisis y generar soluciones coherentes y sensibles al contexto. Esta forma de pensar y proyectar revela que el futuro de la arquitectura depende de su capacidad para responder éticamente a las necesidades del presente y del planeta.

Clase del 04/11 : La visita al sitio del CRTLM alimentó profundamente mi reflexión sobre cómo la arquitectura se inserta en un entorno ya vivo, ya estructurado. Al llegar, me impresionó la situación del terreno: atrapado entre el mar y la autopista, parece constantemente compartido entre dos mundos. Esta dualidad me hizo reflexionar sobre el papel de la arquitectura en contextos donde la naturaleza y las infraestructuras humanas se encuentran, a veces en armonía y otras veces con fricciones. Ver el acceso al sitio, algo escondido y casi torpe, también me hizo comprender cuánto influyen las circulaciones —de las personas, pero también de los flujos naturales— en cómo se percibe y se vive un lugar. Me pregunté si esta dificultad de acceso no revelaba una relación más amplia entre el sitio y su entorno: un diálogo que existió, pero que se ha debilitado con el tiempo. Al observar los edificios, sentí que algunos habían sido diseñados con verdadera atención al paisaje, intentando integrarse en su topografía o abrirse al mar. Otros, en cambio, parecían estar desconectados, como si el vínculo con la naturaleza se hubiera perdido con los años. Esto me hizo reflexionar sobre la fragilidad de las intenciones arquitectónicas: incluso un proyecto que, en su origen, cuida su entorno puede quedar desfasado si el territorio que lo rodea se transforma. Lo que más me impactó, finalmente, fue darme cuenta de cuánto un sitio es un organismo vivo. Cambia, sufre presiones, acoge usos inesperados, pierde algunas funciones y adquiere otras. La urbanización alrededor, el papel de la autopista, la proximidad de la playa: todo esto moldea un paisaje que nunca es fijo. Intervenir aquí no significa solo construir, sino sobre todo escuchar: escuchar las dinámicas ecológicas, los ritmos del lugar, las rupturas, las continuidades. Me di cuenta de que el verdadero desafío quizás sea entender cómo devolver sentido a un lugar cuyas relaciones —con la naturaleza, con los habitantes, con la historia— se han transformado. Al irme, tenía la sensación de tener menos certezas que al llegar, pero una visión más clara: trabajar en tal contexto exige aceptar la complejidad, observar antes de actuar y considerar la arquitectura no como una respuesta definitiva, sino como un medio respetuoso de participar en un entorno ya vivo.

Clase del 11/11 : Nuestro grupo eligió abordar el sitio del CRTLM a través del paisaje, porque, según nosotros, es la zona que requiere la transformación más profunda. Durante la visita, constatamos un terreno muy artificial, compuesto por superficies de césped, árboles aislados y edificios sin verdadera continuidad entre ellos. Esta organización en «capas» genera un paisaje rígido y desconectado de su entorno natural. Nuestra intención es restablecer una coherencia ecológica haciendo el suelo más vivo, más permeable, y reintroduciendo plantas locales capaces de reforzar la biodiversidad. Las aproximaciones de Gilles Clément o Piet Oudolf nos inspiran sobre todo para imaginar un paisaje más espontáneo, resiliente y adaptado al clima de Marbella. También queremos repensar ciertos espacios como la entrada y el estacionamiento, actualmente muy mineralizados y situados en zonas sensibles del sitio. Una reorganización de los flujos y una reducción de las superficies artificiales permitirían devolver al sitio una relación más natural con su entorno. Finalmente, dado que la huella de las casas es relativamente baja, vemos un gran potencial para valorizar los espacios exteriores y crear continuidades vegetales. Representaremos nuestras ideas mediante bocetos, axonometrías y secciones simples, para clarificar nuestras intenciones y mostrar cómo el paisaje puede convertirse en el elemento estructurante del proyecto.

Clase del 18/11 : El intercambio con el profesor permitió comprender más claramente cómo organizar y desarrollar nuestro proyecto. Hasta ahora, teníamos una intención general: hacer que el sitio sea más ecológico, vivo y conectado con su entorno. Esta idea sigue siendo pertinente, pero ahora debe estructurarse en diferentes niveles de intervención para revelar mejor el funcionamiento global del lugar. Se vuelve esencial relacionar nuestro proyecto con lo que sucede alrededor del sitio: los ecosistemas vecinos (dunas, zonas arboladas), los flujos existentes y también las propuestas de los otros grupos. El paisaje no puede ser tratado como un bloque homogéneo; debe desglosarse en varias escalas que dialoguen entre sí. En esta lógica, vamos a definir de 4 a 5 modelos de paisaje, cada uno correspondiente a una escala precisa: un paisaje amplio, conectado con las continuidades ecológicas del territorio; una zona de transición relacionada con los caminos y posibles recorridos; un paisaje más cercano a las casas; los patios o espacios muy íntimos; y, eventualmente, la zona dunar hacia el mar. Cada modelo será ilustrado con bocetos simples que muestren su función, sus posibles ambientes, las plantas adecuadas, así como su evolución en el tiempo. Algunos espacios pueden transformarse rápidamente, mientras que otros, como los corredores ecológicos, requieren una implementación más progresiva. El análisis del sitio (topografía, continuidades vegetales, zonas de paso potenciales para las personas y la fauna) se convierte, por lo tanto, en una herramienta para estructurar estos diferentes niveles y conectarlos entre sí. El objetivo es proponer un conjunto coherente, capaz de evolucionar, donde cada paisaje —del más amplio al más íntimo— contribuya a hacer el lugar más natural y más conectado.